2005 – Mai / Juin

Mai – Juin 2005, Numéro No 32

Prendre de l’âge – une vision positive

http://www.healthandage.com
Mai – Juin 2005

 Bulletin d’information : Prendre de l’âge – une vision positive Par Kenneth et Mary Gergen Dédié à un dialogue fécond entre recherche et pratique Parrainé par la Web-based Health Education Foundation, par la Novartis Foundation for Gerontology et par le Taos Institute
Traduit par Alain Robiolio

Numéro No 32

Dans ce numéro:

COMMENTAIRE – L‚ascension du capital social

Dans son ouvrage, Bowling Alone : The Collapse and Revival of American Community [Jouer au bowling en solitaire : la chute et le renouveau de la communauté américaine], un des livres les plus lus ces dernières années, Robert Putnam regrette la perte de ce qui est communément appelé le capital social. Le capital social est constitué par le réseau de relations locales entre des personnes habitées par des sentiments de confiance et de réciprocité. Un tel capital compte pour beaucoup dans le bien-être des communautés locales, car sans le dévouement des uns pour les autres – en temps, en ressources, en solidarité et en soins – il n‚y a plus de fibre civique : les gens peuvent habiter à proximité les uns des autres sans former nécessairement une com munauté. Avec l‚augmentation des familles à double carrière, la répartition des responsabilités et la nécessité des déplacements – sans compter l‚attrait de la télévision, de la communication mobile et d‚Internet le capital social peine à s‚enrichir.

Dans le même temps, d‚autres avec nous voient en la génération montante des aînés la source principale du renouveau du capital social. Cette éventualité nous est démontrée par les activités auxquelles s‚adonnent  nombre des nos amis et connaissances. Comme l‚a dit un récent retraité : “J‚ai le sentiment que toute ma car rière a été consacrée à assurer la compétitivité de mon entreprise, à gagner ma vie, pour moi et ma famille. Aujourd‚hui, je souhaite donner quelque chose en retour à la société”. Il consacre désormais ses efforts à assurer la survie d‚une école pour Afro-américains, ainsi qu‚à de nombreux projets pour son église. Un autre ami s‚est porté volontaire pour assumer la tâche de maire d‚une petite agglomération. Une amie veuve s‚est intéressée à des écoles et des communautés qui ne possèdent pas de bibliothèque, et met à leur disposition son intelligence et ses livres de poche pour la développer. Un autre ?uvre comme médiateur dans une prison locale ; sans parler de tous ceux qui s‚occupent de leurs petits-enfants lorsque leurs parents sont partis en voyage, prennent soin de la maison et des animaux domestiques quand ils sont absents, assurent la garde du voisinage et font des courses pour des personnes handicapées.

Dans les éditions antérieures du bulletin, nous avons présenté des recherches qui démontrent combien les bénévoles tirent profit de leur propre bénévolat. Les bénéfices ne sont pas seulement faits d‚un sentiment de réussir sa vie, d‚avoir une quantité croissante d‚amis et d‚un besoin accru d‚activité physique (voir le résumé de Chappell, 1999), ils contribuent aussi à une bonne santé. Comme le démontre la recherche citée ci-des sous, notre état de santé est proportionnel à l‚aide que nous apportons à autrui.

Un vaste éventail de possibilités s‚offre aujourd‚hui aux bénévoles âgés – à l‚échelle locale et mondiale. Nous avons parlé de ces possibilités dans quelques-unes des éditions passées du bulletin. Nous nous proposons d ‚en donner une image plus approfondie dans une prochaine édition. Il est cependant important de rappeler que seuls 23% des personnes âgées de 65 ans et plus participent à des missions bénévoles. Les raisons d‚ une telle réticence sont multiples. Comme le mentionne le rapport Reinventing Aeging [L‚Âge réinventé] pub lié par l‚Harvard University School of Public Health [l‚Ecole de Santé publique de l‚Université de Harvard], la plupart des seniors veulent travailler avec les autres, ils veulent utiliser leurs talents et étendre leurs con naissances. Une étude conduite l‚an passé par le Temple University Center for Intergenerational Learning [Centre de l‚Université de Temple pour l‚enseignement intergénérationnel] indique également que les aînés veulent participer à des activités constructives (et ne pas empiler des enveloppes), et veulent que les organ isations montrent du respect et de l‚admiration pour ce qu‚ils font et les récompensent de façon concrète (par une gratuité des transports ou le remboursement de leurs frais, par exemple). En fait, si nous entendons
puiser dans l‚énorme potentiel du capital social des aînés, il est important que des efforts soient consentis dans ce sens par ceux-là même qui se félicitent de leur participation.

Ken et Mary Gergen

Chappell, N. (1999) Volunteering and Healthy Aging : What We Know [Bénévolat et vieillesse saine : ce que nous savons].

Voir:
http://volunteer.ca/volcan/eng/content/older-adults/Canada_adults_report_printable.htm

Harvard School of Public Health (2004) Reinventing Aging : Baby-Boomers and Civic Engagement [L‚âge réin venté : l‚engagement civique des enfants du baby-boom ]

Voir:
http://www.aarp.org/research/reference/boomers/aresearch-import-873.html

RECHERCHE – Le cadeau du don : une vie plus saine

Nous avons déjà parlé des recherches qui indiquent qu‚un réseau de relations de soutien étendu aide à vivre. Il est admis aujourd‚hui que de tels réseaux apportent une aide sociale, émotionnelle et matérielle à ceux et celles qui en bénéficient. Ils améliorent leur bien-être. Cette recherche pose toutefois la question contraire: ceux qui assurent ce soutien tirent-ils également profit de ce qu‚ils donnent ? Leur santé s‚améliore t-elle sim ultanément ?

Pour répondre à la question, des chercheurs ont interrogé un échantillon de plus de mille personnes vivant à Brooklyn, New York:un ensemble de personnes aux origines diverses, comprenant des Afro-américains, des Caraïbes, des Européens de l‚Est et des Américains vivant en Europe, âgés en moyenne de 74 ans. Chacune d‚elles a été interrogée pendant plus d‚une heure sur ses expériences, ses origines.Les participants connaître les personnes membres du réseau de leur association. Il leur était également demandé d‚indiquer le nom de ceux qui les avaient aidé matériellement ou émotionnellement pendant les trois derniers mois, et à qui ils avaient apporté leur aide. Leur état de santé était également analysé.

Les résultats indiquent que l‚amélioration de la santé physique est proportionnelle à l‚aide apportée à autrui. Il apparaît également que ces données ne se modifient pas lorsque les conditions socio-économiques, éduca tion, le statut matrimonial, l‚âge, le sexe, l‚appartenance à une ethnie ainsi que la dimension et la nature du réseau sont dévaluées. Les conclusions révèlent qu‚il n‚existe aucune relation entre la quantité reçue et la santé des interrogés.

Cette étude étant corrélationnelle, les prémisses de ces résultats restent à éclaircir:il importerait de savoir, par exemple, pourquoi les personnes qui sont en bonne santé sont plus portées à aider les autres. Il se pour rait que ces personnes vivent des émotions positives lorsqu‚elles apportent de l‚aide à autrui, et que ces sent iments positifs améliorent la vigueur de leur système immunitaire. De même, celles qui s‚estiment en bonne santé ont tendance à donner plus qu‚elles ne reçoivent. La recherche dans ce sens reste encore à poursuivre.

From the From:Altruism relates to health in an ethnically diverse sample of older adults [Le pourquoi et le comment:le rapport de l‚altruisme avec la santé dans un ensemble d‚adultes âgés aux origines différentes],
par William Michael Brown, Nathan S. Consdeine et Carol Magai. Juornal of Gerontology : Psychological Sciences, 2005, 60B, 143-152.

RECHERCHE – L‚âge et la sagesse dans la réduction des conflits

Il arrive parfois aux meilleurs amis, aux plus tendres amoureux et aux époux les plus chers d‚être en dés accord:une chose inévitable dans un monde à la complexité et aux tensions galopantes. Si nous pouvons
apprendre les façons d‚éviter les désaccords, il est aussi important de posséder les ressources qui peuvent les désamorcer lorsqu‚ils apparaissent. Si la recherche soutient en général que la sagesse vient avec l‚âge, la question que pose celle-ci est de savoir si lâge augmente nos capacités à nous confronter aux discord esdans nos relations.

Selon les chercheurs Kira Birditt et Karen Fingerman, la réponse est oui. Dans le cadre de leur étude, un ensemble de participants âgés de 13 à 99 ans ont été appelés à décrire les tensions qu‚ils vivaient avec les
personnes de leur milieu social, et leur façon d‚y répondre. Les résultats étaient ensuite classés selon un système de définitions des stratégies de conflits largement reconnu, comprenant les catégories suivantes:
– Active/destructive (par exemple, mettre fin à une relation, agresser physiquement ou verbalement).
– Active/constructive (par exemple, écouter, discuter, écrire une lettre ou définir le problème).
– Passive/destructive (par exemple, éviter l‚autre et bouder).
– Passive/constructive (par exemple, garder son calme et répondre de façon courtoise)

Les résultats de l‚étude montrent que dans la pire des quatre catégories, active/destructive, les personnes âgées agissent avec nettement plus de sagesse que les plus jeunes. Ces derniers sont plus portés à s‚ in vectiver les uns les autres, à quitter les lieux ou à mettre fin à leur relation. Les plus âgés, quant à eux, répondent plus facilement de façon passive/constructive aux désaccords. Ils ne tentent rien qui puisse les envenimer et s‚attachent plus souvent à panser les plaies.

En dépit de l‚idée que les personnes plus âgées participent émotionnellement de moins en moins aux évèn ements quotidiens, la recherche n‚a pas démontré que l‚âge faisait une différence en termes d‚intensité choix d‚un partenaire social. A noter également qu‚il ne semble pas exister de stabilité en ce qui concerne les diff érences de sexes ; ce qui contredit le stéréotype que les femmes parlent et que les hommes s‚en vont. Il est donc utile de poursuivre l‚étude sur les différences entre les sexes sur ce point. Les chercheurs ont conclu qu ne les personnes apprennent avec l‚âge à faire face aux conflits interpersonnels. La recherche corrobore  d autres études qui indiquent qu‚à mesure de leur avance en âge, elles améliorent leur vie sociale et émotion nelle.

Tiré de : Do we get better at picking our battles ? Age group differences in descriptions of behavioral react  ions to Interpersonal Tensions [Devenons-nous plus sélectifs dans le choix de nos conflits avec l‚âge
Différences dans la description des réactions comportementales aux tensions interpersonnelles entre les divers groupes d‚âge], par Kira S. Birditt & Karen L. Fingerman. Journal of Gerontology : Psychological Sciences, 2005, 60B, 121-128

REVUE DE PRESSE

* Semaine de la Santé mentale des Aînés Américains

L‚American Psychological Association [l‚association américaine des psychologues] (APA) s‚est récemment associée avec la Older Women League [la Ligue des Femmes âgées] (OWL) pour organiser la Semaine de la Santé mentale des Aînés Américains (du 22 au 28 mai 2005). Le thème de cette année avait pour titre “Mental Illness is Not a Normal Part of Aging” [La maladie mentale n‚est pas une conséquence normale du  campagne de sensibilisation du public a été suivie d‚une réunion d‚information des congressistes, parrainée en partie par la sénateure Hillary Rodham Clinton. Les notes concernant la semaine de la Santé mentale des Aînés Américains, ainsi qu‚un lien au pages Web de l‚office pour les Ainés de l‚APA, accompagné de matériel éducatif, se trouve sur le site :http://www.owi-national.org/mentalhealthweek/index.html

* L‚avenir de l‚éducation des adultes

La Fielding Graduate University [Université Fielding du troisième cycle] a pronostiqué le développement de l‚éducation des adultes au cours des prochaines décennies. Parmi les découvertes, fruits de Michael B.
Goldstein, administrateur de l‚Université, certaines projections pertinentes sont susceptibles d‚éveiller l‚intérêt des personnes plus âgées :

1 Le prolongement de l‚espérance de vie de la population aura une influence sur la participation au monde du travail. Elle tendra à créer un “deuxième âge moyen” pour les personnes qui poursuivent une activité professionnelle jusqu‚à 70 ans. “La sagesse, la spiritualité, et les connaissances acquises – le lien entre le corps et l‚esprit – prendront plus d‚importance”.

2 Les femmes continueront d‚accentuer leur présence dans l‚enseignement supérieur et leur participation à des projets d‚importance après avoir atteint 55 ans. “Les femmes se créeront de nouvelles carrières et
chercheront à accéder à de nouvelles possibilités de formation jusqu‚à plus de soixante-dix ans”.

3 L‚augmentation de la diversité dans le monde du travail et dans l‚enseignement supérieur sera car actéristique de ce siècle. Des personnes de toute origine et de tous âges participeront pleinement au monde du travail et de l‚éducation.

Tiré de : The Futuring Project [Plan pour l‚avenir] produit par la School for Human & Organizational Development, Fielding Graduate University [Ecole du développement humain et des organisations de l‚Université Fielding]. Rapport annuel 2004, fielding focus, hiver 2005, 3, 5-6.

* Gros et en forme, c‚est la santé !

Une récente recherche publiée par le Journal of the American Medical Association [la revue de l‚ association médicale américaine] dans son édition du 22 avril 2005, affirme que la minceur pose un plus grandproblem
de santé que celui de la surcharge pondérale. Le danger de la minceur–et la tentative de l‚être – a été large ment ignoré, alors que les risques liés à l‚excès de poids et à l‚obésité ont été fortement exagérés. En utiisant des données fournies par le National Health and Nutrition Examination Survey [l‚enquête nationale sur la san té et la nutrition], cette recherche suggère que l‚« excès de poids » est en fait le poids idéal .

Le livre du physiologiste Glenn Gaesser de l‚Université de Virgine, Big Fat Lies : The Truth About Your Weight and Your Health [De gros mensonges : la vérité sur votre poids et votre santé] va dans le même sens. Gaesser met en doute les données conventionnelles sur le poids du corps et la santé, en démontrant avec suffisamment d‚évidence scientifique que lorsqu‚il est question du poids, le public américain et la communauté
scientifique nationale travaillent sur des affirmations fausses et des mythes auto-perpétués. Notre culture voue un culte à la minceur, alors que rien ne le justifie d‚un point de vue médical.

Selon la définition habituelle, l‚obésité est la cause de nombreuses maladies et désordres mortels : le diabète, les maladies de c?ur et l‚occlusion des artères. Gaesser démontre que ces affirmations, alliées aux  statistiques fantômes qui dénombrent 300’000 décès annuels causés par un poids excessif, sont infondées. Non seulement il n‚existe aucune preuve que les deux phénomènes sont liés, dit Gaesser, mais la plupart des
études suggèrent le contraire. Par exemple, une enquête à grande échelle lancée en 1998 par les National Institutes of Health [Les instituts nationaux de la Santé] a démontré que pour les Afro-américains, l‚index de
masse optimal qui permet la longévité est celui correspondant à une surcharge de poids. Même chez les per sonnes de race blanche, les données contredisaient la croyance largement répandue que les hommes et les femmes  e de santé plus sérieux que celui de prendre du poids.

Si Gaesser va à contre-courant des idées reçues, il n‚en pense pas moins qu‚être en bonne forme physique est essentiel. “Les hommes et les femmes gros qui sont en bonne santé et qui font régulièrement de l‚exer cice vivent plus longtemps que les femmes et les hommes minces qui ne sont pas en bonne forme et in actifs ; les études démontrent régulièrement qu‚il est plus facile de rendre la forme à une personne grosse que de la faire maigrir” affirme t-il.

Gaesser pense que la conséquence la plus pernicieuse de ces informations erronées diffusées par la presse populaire et la publicité pousse à une augmentation des régimes amaigrissants malsains. Il est plus partic      ulièrement opposé à ces régimes extrêmes qui prônent la combustion rapide des graisses, ceux-là mêmes qui sont montrés du doigt par leurs opposants pour avoir un effet négatif sur la santé à long terme. “Les efforts constants faits pour perdre du poids entraînent peut-être plus de décès que l‚excès de poids lui-même”, conclut t-il.

DES LECTEURS NOUS REPONDENT

Merrel Clark écrit : Merci de me maintenir dans la liste de vos lecteurs du bulletin, Ken et Mary. C‚est tou jours un grand plaisir de vous lire ? J‚apprécie votre idée de traverser nos jours ou nos semaines (ou nos mois et années ou nos tranches de vie) en étant créatifs. J‚approuverai à chaque fois que vous soulignerez les possibilités que nous avons d‚être créatifs la vie durant, en nous exprimant, en écoutant, en observant, dans nos activités physiques et spirituelles, etc., etc. Être créatifs, peu importe que les autres le remarquent ou non. La renommée ou le partage sont agréables, mais ils ne comptent pas lorsqu‚il s‚agit de définir ce que veut dire être “créatif”. Voici quelques idées sur lesquelles vous pouvez réfléchir pour les années à venir :

1. Les Etats-Unis ont produit plus d‚aînés(âgés de plus de 65 ans) que toute autre société dans le monde. 2. Les aînés qui ont suivi un enseignement supérieur ont des modèles d‚activités similaires à des personnes
de vingt ans plus jeunes qu‚elles. 3. Si les USA veulent une population d‚aînés plus grande et en meilleure santé, l‚acte stratégique le plus important consisterait à demander aux vieux adolescents d‚obtenir un titre universitaire. 4. Le nombre des personnes de plus de 65, 75, 85 ou 95 ans ne cesse de s‚accroître, mais cette augmentation n‚est pas aussi marquée que celle de la proportion d‚universitaires qui existent dans ces groupes.

DES LIVRES ET DES RESSOURCES SUR LE WEB

* Still working after all these years [Encore au travail après toutes ces années], par Toni Rey (Llumina Press, 2004).

Un ensemble de portraits sans prétention de personnes qui, pour des raisons financières ou pour leur sat isfaction personnelle, ont continué de bien travailler une fois passé l‚âge de la retraite officielle. La plupar
de ceux qui sont cités dans ce livre sont, comme l‚auteur, des thérapeutes. Plusieurs d‚entre eux sont des amis ou des parents (mari, mère et père). D‚autres personnalités y figurent, comme ceux de Marilyn Hennessy, présidente de la Retirement Research Foundation [la Fondation pour l‚aide aux personnes re traitées www.rrf.org ], d‚Adeline Geo-Karis, âgée de 86 ans, qui a fonctionné comme membre du conseil législatif de l‚Etat de l‚Illinois durant 31 ans, de Shirley Brussell, fondatrice de l‚opération ABLE www.able.org,   (et de nombreux membres du North Shore Senior Center [Centre des aînés de la rive Nord]de Northfield en Ill.

* Caring for your parents : The complete AARP Guide [Soigner vos parents : le guide complet de l‚ AARP [l‚Association américaine des retraités]

Pour les lecteurs de ce bulletin, le temps fort du livre réside dans la façon de raconter des personnes soign antes et de considérer finalement la relation avec leur parents comme une possibilité de développement
émotionnel, de réconciliation et de nouvelles résolutions.

PETITES ANNONCES ET EVENEMENTS A VENIR

* Life@50©: AARP National Event and Expo. Speakers, entertainment, exhibitions, music [La vie à 50 ans et plus : Manifestation nationale et exposition de l‚AARP. Conférences, divertissements, expositions, musique].
Du 29 septembre au 1er octobre 2005. New Orleans Morial Convention Center.
www.aarp.org/events
 
* Viva 50 Plus, World Aging and Generations Congress, du 29 septembre au 1er octobre 2005, St-Gall(Suisse). Site Web : www.viva50plus.org Pour le congrès : Info@viva50plus.org

Informations aux lecteurs

– Pour vous abonner à ce Bulletin
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– Questions et réponses
Si vous avez des questions ou du matériel à faire partager aux lecteurs du
Bulletin,nous vous prions d‚écrire à Mary Gergen sur gv4@psu.edu

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Pour les activités futures du Taos Institute : http://www.taosinstitute.net

 

May 1, 2005 12:00 am

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