2005 – Mars / Avril

Mars – Avril 2005, Numéro 31

Prendre de l’âge – une vision positive

http://www.healthandage.com
Mars – Avril 2005

Bulletin d’information:Prendre de l’âge – une vision positive à un dialogue fécond entre recherche et pratique Parrainé par Kenneth et Mary Gergen la Web-based Health Education Foundation, par la Novartis Foundation for Gerontology et par le Taos Institute Traduit par Alain RobPar Dédié iolio

Numéro No 31

Dans ce numéro

COMMENTAIRE ­ L’appel de la créativité

La majeure partie de la vie adulte est occupée par des devoirs pratiques. Nous sommes confrontés à des problèmes de travail, à l’éducation des enfants, nous passons notre temps à tenir un ménage,à équilibrer les budgets, etc. Le sens de notre valeur est souvent lié à notre façon de répondre à ces défis et de poursuivre notre vie. De nombreuses personnes confrontées à la retraite se disent:”Si je ne réussis rien, quelle est donc ma valeur?” Lorsque nous entrons dans une période de la vie où les devoirs pratiques ne sont plus aussi exigeants,nous avons de bonnes raisons de remettre en question l’idée que l’on doit gagner sa pro prevaleur. Lorsque nous étions enfants, nous ne raisonnions certainement pas de cette façon, et les moments de joie les plus intenses étaient ceux que nous passions à des jeux créatifs. N’y aurait-il pas une certaine sages se à rev enir à de ces activités?

Cette possibilité nous a été récemment démontrée par Christina Robertson, une invitée à notre table. Christina achève une thèse de doctorat à la Saybrook Graduate School [Ecole d’enseignement supérieur de Saybrook] qui s’intitule Âge et Créativité. Elle nous a décrit avec enthousiasme comment elle s’est adjointe 20 personnes de plus de 65 ans pratiquant des activités créatrices ­ par profession ou par vocation – pour les besoins de son étude (les activités comprenaient la peinture, l’écriture, la poésie, le chant choral et la création d’objets). Au travers d’entrevues fréquentes et intenses et par diverses évaluations comparatives,  Christina est parvenue à la conclusion que leur engagement dans une activité créatrice avait un impact indéniablement positif sur la vie de ces participants et qu’il tendait, entre autres choses, à donner un sens à
leur vie: il leur procurait un sentiment de joie et de plénitude. La plupart était aussi d’avis que leur activité les aidait à faire face aux défis de l’âge. Ils ne s’attardaient pas tant sur le négatif et disaient se sentir capables de “suivre le courant” du changement. La majorité d’entre eux avait le sentiment que leur activité créatrice leur inspirait un sens du spirituel et leur permettait de mieux accepter l’idée de la mort.

Nous avons remarqué qu’un nombre croissant d’aînés répondent à l’appel de la créativité. Nous avons vu des amis retraités commencer l’étude du piano, écrire des poèmes et travailler à un roman. Deux amis, qui n’étaient que de simples photographes amateurs durant leur carrière professionnelle, exposent aujourd’hui leur travaux photographiques. Un autre vient de donner un magnifique concert d’orgue lors d’une grande
réunion communautaire. D’autres encore, de façon moins visible mais tout aussi créative, explorent la cuisine indienne, élèvent des abeilles et font pousser des fleurs merveilleuses. Et pour tous ceux qui n’ont pas
encore entendu l’appel de la créativité, un grand nombre d’organisations offrent aujourd’hui toutes sortes de programmes d’activités destinés aux aînés (voir par exemple: www.creativeaging.org). L’initiative des New
Courtland Elder Services [Services aux personnes âgées de New Courtland],couronnée par une récompense, permet aujourd’hui à plus de 1’300 aînés de santé délicate de travailler à des projets vidéos, de s’initier aux divers moyens de communication, de s’adonner à la photographie, à la confection de quilts, de mosaïques murales, à la création de poupées et au chant choral intergénérationnel. Les initiateurs ont découvert que ces activités réduisaient l’impression de solitude, d’impuissance et d’ennui, et que les travaux de ces aînés pouvaient faire l’objet d’expositions et de fêtes (consultez www.newcourtland.org).

En réfléchissant plus calmement, nous nous sommes dits:pourquoi penser que la créativité se limite à des activités comme l’art, la danse, le jardinage et d’autres encore? Ne pourrions-nous pas traverser nos jours
comme s’ils étaient une forme d’art, une improvisation de jazz, et juxtaposer les événements et les activités de façon à ce qu’il en résulte harmonie et satisfaction?

Kenneth et Mary Gergen

Référence: Robertson, Christina (2005) Creativity and Aging: A grounded theory study of creative older individuals [La Créativité et l’Âge: une étude théorique fondée sur des individus âgés créatifs].

Unpublished PhD dissertation, Saybrook Graduate School and Research Center [Thèse de doctorat non publiée, école d’enseignement et centre de recherches de Saybrook].

RECHERCHE ­ Le bonheur requiert-il une bonne santé?

A l’aéroport, une affiche montre une adolescente tenant une planche de surf déchiquetée par un requin. Elle n’a qu’un bras et elle sourit. Dans sa chaise roulante, un homme gravement paralysé applaudit un match de tennis. Le Pape bénit une foule quelques jours seulement avant sa mort.Ces exemples démentent l’opinion habituelle qui veut que les personnes diminuées physiquement soient tristes ou angoissées. Une étude ré cente, rapportée dans le Journal of Experimental Psychology [Revue de Psychologie Expérimentale], nous en dit plus sur le sujet. Le chercheur Jason Riis et ses collègues ont questionné 49 patients en fin de vie souff rant de troubles néphrétiques et soumis à des dialyses, et 49 participants chargés de leurs contrôles de santé, afin d’estimer, une semaine durant, le temps où ils se sentaient heureux, déprimés, malheureux, frustrés, furieux ou anxieux. Ces estimations ont été enregistrées toutes les deux heures pendant sept jours via un dispositif digital. Il était demandé aux participants de dire comment ils se sentaient, mais également d’estimer les sentiments des personnes de l’autre groupe. De cette façon, tous les participants s’évaluaient l’un l’autre et évaluaient aussi comment l’autre groupe s’auto-évaluait.

Les résultats de la recherche ont démontré que les personnes en bonne santé sous-estimaient grandement les sentiments de bonheur des patients en dialyse. Ceux-ci étaient bien plus heureux que ne l’imaginait le groupe en bonne santé. Il est intéressant de noter que les patients néphrétiques surestimaient largement le bonheur ressenti par les membres du groupe en bonne santé. Les personnes malades tendaient à imaginer la joie que ce serait d’être en bonne santé, et estimaient que c’était là les sentiments des personnes en bonne santé.

Comment les groupes se comparent-ils lorsqu’ils s’évaluent eux-mêmes? Au fait, le groupe en bonne santé est-il plus heureux? Les résultats de l’étude démontrent qu’il n’existe pratiquement aucune différence dans la
façon ordinaire de s’évaluer des deux groupes.

On peut conclure de cette recherche qu’il paraît plus facile qu’on l’imagine de partager des moments heureux avec une personne qui rencontre de graves problèmes de santé (un visage triste n’est pas nécessaire).

Tiré de: People in Poor Health are Happier than Others Think [Les personnes en mauvaise santé sont plus heureuses que ne le pensent les autres), de Z. Stambor, Monitor on Psychology, Avril 2005, p. 13.

Le manuscrit complet de Riis se trouve sur www.newswise.com/articles/view/509679

RECHERCHE ­ Un mariage heureux, bienfait pour la santé

L’idée que le mariage est bon pour la santé a ressurgi à la suite d’une étude menée pendant 20 ans par la Ohio State University [l’Université de l’Etat de l’Ohio] sur 90 couples mariés. Le professeur Janice Kiecolt-Glaser et ses collègues de l’Institut de médecine comportementale ont découvert que les couples mariés qui montraient un faible niveau de stress étaient moins sujets aux maladies que ceux dont le mariage était marqué par les conflits. L’explication de cette différence est à rechercher dans les effets du conflit sur le système immunitaire. Les chercheurs estiment que des relations conjugales positives aident les personnes à éviter le stress. Ce qui veut dire que les conjoints produisent moins d’hormones liées au stress, comme la cortisone, par exemple. La recherche conduite antérieurement par le même groupe avait déjà démontré que chez les personnes mariées depuis de nombreuse années, le niveau réduit de cortisone était synonyme d’un moindre risque de maladies infectieuses et même de cancer.

Il est intéressant de noter que lorsque les chercheurs ont questionné les mêmes personnes dix ans plus tard, ils ont découvert que ceux des couples qui avaient un taux plus important d’hormones liées au stress étaient plus exposés au divorce (19%). En fait, un niveau élevé de stress était le meilleur indicateur de cette évent ualité (il n’est pas dit si les partenaires avaient recouvrer un peu de leur santé après leur divorce).

Les maris et les épouses tirent-ils un bénéfice égal d’un mariage heureux? Il semble bien que la réponse soit “non”. Les hommes bien mariés souffraient moins de maladies que leurs épouses. D’autre part, dans les
couples mal assortis, les épouses étaient plus souvent malades que les maris.Le fait d’être marié a aussi des avantages sociaux pour l’homme et la femme. Comme le déclare Robert Johnson, professeur de sociologie à
l’Université de Miami: “le mariage ou la relation romantique a une haute valeur sociale qui explique que les gens se sentent à l’aise vu la valeur que la société leur prête”. En revanche, les relations extra-conjugales
peuvent mettre la vie en danger. Kiecolt-Glaser cite une étude anglaise datant de 2002 qui montre que le risque d’attaque cardiaque durant un rapport sexuel est moins grand chez les couples mariés que chez les
autres. En fait, 75% des personnes mortes pendant une relation sexuelle vivaient une aventure extra-conjugale. Kiebolt-Glaser pense que la relation sexuelle est généralement une forme douce d’exercice physique, mais qu’un rapport sexuel illicite peut être stressant.

Tiré de: Why a Good Marriage is Good ­ for Heart and Health [Pourquoi un bon mariage est bon ­ pour le cœur et la santé] par Howard Cohen, Philadelphia Inquirer, 27 février 2005, p. M2.

Pour en savoir plus sur les publications de Kiecolt-Glaser, consulter:http://medicine.osu.edu/ibmr/kiecolt-glaser.html

RECHERCHE ­ Qui a dit entêtés?

Un stéréotype commun à propos des aînés veut qu’il soient entêtés, qu’ils se vexent facilement et qu’ils critiquent autrui. Une recherche récente suggère que ce stéréotype n’est qu’un préjugé tenace sur l’âge. Au cours de cette recherche, un ensemble de tests de la personnalité a été mené sur plus de 1’000 bénéficiaires de Medicare [La Sécurité sociale américaine (NdT)]. Les participants ont été divisés en quatre groupes selon le sexe et l’âge (de 65 à 79 ans et de 80 à 100 ans). Que peut-on dire des changements de personnalité qui s’opèrent à travers le temps chez les hommes et les femmes?

Selon les conclusions de la recherche, les femmes sont généralement plus ouvertes et plus sociables que les hommes dans les deux groupes d’âge; toutefois, le comportement névrosé ­ qualifié comme tel selon les chercheurs ­ se rencontre plus fréquemment chez elles que chez les hommes. Une seule exception, mais intéressante: un test démontre que l’âge aidant, la sociabilité augmente sensiblement chez les hommes et chez les femmes. Les valeurs sont plus hautes chez les personnes les plus âgées (de 80 à 100 ans) que chez les plus jeunes, et l’âge aidant, les hommes gagnent plus en sociabilité que les femmes.

Une des hypothèses tirée de ces données, c’est que les hommes qui parviennent à dépasser l’âge de 80 ans sont moins enclins à l’animosité ou à montrer un comportement de type A (agressif, précipité, irritable).
C’est ce qui explique qu’ils ne meurent pas aussi souvent d’un arrêt du cœur que leur frères moins sociables.

Tiré de: Cross-Sectional Age Differences in Personality Among Medicare Patients Aged 65 to 100 [Diversité représentative de la personnalité suivant la différence d’âge chez les patients de Medicare âgés de 65 à 100
ans] par Alexander Weiss, Paul T. Costa, Jr., Jurgis Karuza, Paul R. Duberstein, Bruce Friedman & Robert R. McCrae. Psychology and Aging 12, 2005, 182-185.

REVUE DE PRESSE

* Mangez des épinards!

Comme le suggère de plus en plus la recherche,les personnes peuvent retarder et même prévenir la maladie d’Alzheimer si elles vivent avec mesure. Il est de plus en plus reconnu que le mode de vie qui permet de maintenir son cerveau en bonne santé est le même que celui qui est bon pour le cœur ­ manger des aliments pauvres en graisses (d’une haute teneur en antioxydants), faire de l’exercice, s’abstenir de fumer et éviter les excès d’alcool. Les activités qui réveillent les facultés intellectuelles? Maintenir les contacts sociaux, lire, cultiver sa pensée et acquérir de nouvelles capacités. Comme le cœur, le cerveau a besoin d’un peu d’ exercice journalier.

Tirée de: What’s Good for the Heart is Good for the Head [Ce qui est bon pour le cœur est bon pour la tête] par Jane E, Brody, New Times, 22 mars 2005, D8.

* Le vin rouge a du bon

Manger correctement ne veut pas dire ne pas boire d’alcool! Une étude récente conduite sur plus de 1’400 hommes a démontré que boire quatre verres de vin ou plus en une semaine réduit de moitié les risques de
cancer de la prostate et réduit de 60% les risques de cancer graves ou galopants. L’auteur de cette étude, Janet L. Stanford du Centre Fred Hutchinson de recherche sur le Cancer à Seattle a déclaré que le vin est
riche en resvératrol, une substance qui combat apparemment le cancer. Les Français semblent l’avoir bien compris: Vive le vin! [En français dans le texte (NdT)].

* Vivre plus longtemps et l’apprécier

Selon le Centre national de la statistique sur la santé, l’espérance de vie moyenne des Américains est cette année de 77,6 ans, un record.L’espérance de vie des femmes dépasse légèrement 80 ans, celle des hommes
lui est inférieure de 5,3 ans. Il y a quinze ans, cette distance entre hommes et femmes atteignait presque 8 ans. Une autre bonne nouvelle, c’est que l’on constate également une augmentation de l’espérance de vie active,ce qui signifie que selon certaines évaluations, les gens ne se contentent pas de vivre plus longtemps: leur vie est plus active et plus productive. Il est aussi important de noter qu’à chaque année, notre espérance de vie augmente. La moyenne d’espérance de vie comprend tous ceux qui meurent plus tôt. Cela signifie que si vous avez 80 ans, votre niveau d’espérance de vie normale est légèrement plus élevée que la moyenne (vous êtes tout simplement trop âgé pour mourir à 77 ans). Les raisons de l’augmentation de l’espérance de vie découlent aussi d’une réduction des décès suite à des problèmes cardiaques et de cancer.

Même si ces résultats paraissent optimistes, il ne faut pas oublier que dans d’autres pays la durée de vie est plus longue. Le Japon a l’espérance de vie la plus longue, presque 82 ans. En Australie, en Nouvelle-Zélande,
dans les pays d’Europe occidentale, en Israël et à Singapour les taux sont plus élevés qu’aux Etats-Unis.

Tiré de: U. S. Life Expectancy at 77.6, A Record [L’espérance de vie a atteint 77,6 ans aux Etats-Unis, un record] par Randolph E. Schmid, Philadelphia Inquirer, 1er mars 2005. A1.

* La poésie comme une pratique curative

Pour ajouter au commentaire initial et à l’accent que nous mettions sur l’activité créatrice, mentionnons que des comptes rendus récents parlent de l’usage de la poésie comme une pratique curative. John Fox, président de l’Association Nationale de Thérapie par la poésie (www.poetrytherapy.org) soutient qu’écrire des poèmes a une valeur thérapeutique. Dans son livre “Poetic Medicine: The Healing Art of Poem-Making” [La médecine poétique ou l’art de guérir en composant des poèmes], Fox affirme que la guérison psychologique développe la spontanéité et l’ouverture. La recherche du psychologue James Pennebaker, de l’Université du Texas, qui a parlé de ce phénomène dans son livre “Writing to Heal” [Ecrire pour guérir] vient à l’appui de cette idée. Il est intéressant de noter qu’elle n’est pas nouvelle. Il y a environ deux-cents ans, l’Hôpital de Pennsylvanie, le premier hôpital des Etats-Unis, s’aidait de la poésie pour soigner les patients atteints de
maladies mentales. Les patients écrivaient et publiaient leurs poésies dans leur propre journal: The Illuminator [L’illuminateur]. La poésie a aussi été utilisée en cas de stress post-traumatique et de décès.
www.artsandspirituality.org

Tiré de : “Poetry is beautiful, sure ­ but it can also heal” [La poésie est magnifique, c’est sûr ­ mais elle peut aussi guérir] par Constance Garcia-Barrio, Philadelphia Inquirer, 1er avril 2005, A21.

DES LECTEURS NOUS REPONDENT

Sean Rinehart nous écrit:” Je pense que le livre écrit par Jeremy Goldstein, intitulé Grandma Goes to Law School [Grand’mère suit des cours de droit] pourrait intéressé vos lecteurs. Jeremy parle de sa mère, qui a
obtenu son diplôme à Syracuse à l’âge de 83 ans. Elle a passé l’examen du barreau de New York pour la deuxième fois en février. C’est un livre évocateur qui fait le portrait de nombreuses personnes qui ont accompli des choses extraordinaires au cours de la période tardive de leur vie. Sicela vous intéresse, je serais heureux de vous en faire parvenir unecopie.

Vous trouverez d’autres informations sur: http://www.dreamhousebooks.com

DES LIVRES ET DES RESSOURCES SUR LE WEB

* Expressive Arts with Elders [Pratiquer les arts de l’expression avec les aînés], 2ème édition, par Nadia Weisberg et Rosilyn Wilder. Philadelphie, Jessica Kingsley Publishers, 2002. Etant donné le thème principal de ce bulletin, nous avons pensé qu’il serait bon de faire connaître à nos lecteurs une des ressources majeures sur les arts de la création et la population âgée. Weisberg et Wilder ont rassemblé dans cet ouvrage 17 contributions sur ce thème, écrites par autant de spécialistes dans un style compréhensible et souvent plein de vie. Les sujets touchent la danse et le mouvement, les arts dramatiques, la musique, l’écriture et la poésie. Une section du livre est consacrée au thème du travail artistique intergénérationnel.

L’ouvrage comprend une série d’idées théoriques sur l’importance des arts de l’expression dans notre vie, ainsi que des descriptions de pratiques et de programmes d’activités. Quelques-uns des chapitres particulière ment suggestifs démontrent comment les personnes plus âgées qui sont désorientées, dépressives ou isolées peuvent éprouver un sens nouveau de communion et affirmer leur sentiment d’exister en s’adonnant à des activités artistiques. Le livre contient de nombreuses références à d’importants travaux dans le domaine et cite diverses organisations actives dans le domaine. L’ouvrage n’existant que sous sa forme imprimée,aucune référence à des sites Web traitant du même thème ne sont disponibles. Nous souhaitons tous que les auteurs puissent s’atteler à la troisième édition.

PETITES ANNONCES ET EVENEMENTS A VENIR

*Creative Aging est un bulletin électronique créé par Reyna T. H. Larsondu National Center for Creative Aging [Centre national pour une vieillesse créative]. Pour y souscrire, envoyez un couriel avec la mention
“subscribe” sous objet à ncca@creativeaging.org avec votre nom et adresse Email dans le corps du texte. Vous pouvez aussi visiter le site Web www.creativeaging.org

*18ème Congrès Mondial de la Gérontologie sur le thème Healthy Aging in the XXIst Century: Building Bridges Between Research and Practice [Vieillir en bonne santé au XXIème siècle: construire des ponts entre la recherche et la pratique], du 26 au 30 juin 2005 à Rio de Janeiro, Brésil. Parrainé par l’Association Inter national de Gérontologie. www.gerontology2005.org.br/

Informations aux lecteurs

– Pour vous abonner à ce Bulletin
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– Questions et réponses
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March 1, 2005 12:00 am

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